Libre expression

Il n'y a pas que le 4X4 dans la vie et il parait qu'un confrère nommé Larochefoucauld (si j'ai bien compris, son garage s'appellerai "MAXIME 4X4"), répéterai : "Qui vit sans folie, n'est pas si sage qu'on le croit ".

1 juin 2022 : « La Femme roulée dans la farine », (fait suite à l'article du 13 avril 2021 visible plus haut).


Depuis 2 mois, 20 à 30 « pèlerins » se réunissent autour de Notre Dame du Vœu à Bernay les mardi à 19h en priant pour la paix, particulièrement l'Ukraine.

Après ces 30 min., accord fut pris que l'un d'entre nous ouvre un débat (5 à 10 mn env.), sur un sujet d'actualité mais en rapport avec des principes évangéliques.

J'ai inauguré cela le 31 05 2022 avec le texte ci-dessous et la P.J. .

Après lecture de mi texte, une petite dizaine parmi les dames présentes nous ont simultanément quittées, vraisemblablement en se souvenant avoir oublié d'éteindre le gaz sous une casserole ou autres impératifs domestiques ?

A moins que ce soit en rapport avec Sœur Alyette qui a trouvée certains passages un peu « violents » ?

Par contre, 2 messieurs m'ont confirmé qu'il n'y avait rien de faux dans tout cela...

Mais comme je ne suis pas tombé de la dernière pluie, il est très vraisemblable que cette flagornerie entre dans une perspective de demande de remise sur l'un de nos 4x4 ?

Bon d'accord, l'un d'eux ne conduit plus, mais quid de l'autre ?





Voici le texte du débat du 31 05 2022 et les déclarations de Pie XII du 22 mai 1941, celle de Saint Jean-Paul II du 9 juillet 1997 et le témoignage de Sœur Jacinthe à l'issue d'une des apparitions de Notre Dame à Fatima en 1917 :





Souvenons-nous que la Vie est en permanence le « théâtre » de la lutte du Bien et du mal.

Combat très difficile pour le Bien car les armes les plus redoutables du mal sont à la fois de se déguiser en Bien, ou pire, nous convaincre qu'il n'existe pas !

Son objectif étant de tuer la Vie, il commence par le plus radicale et le plus facile : tuer les femmes en les exposant aux danger de la guerre et du travail, puis en les désacralisant comme le prouve la progression des feminicides et leur relégations en tant qu'accessoires (plus ou moins dénudée), dans le marketing.

Comment les désacraliser ? : Il faut se rappeler, et comme le démontrent peintures, dessins, gravures, sculptures depuis que nos ancêtres ont évolué des primates vers l'homo sapiens, et hormis dans des profondes jungles africaines, des vêtements ont toujours voilé le corps de la femme.

Il est d'ailleurs intéressant de noter que hormis sa banalisation puis explosion depuis les années 1950, c'est dans nos brèves périodes historiques les plus perturbées, que les corps féminins se sont dévoilés.

Exemple le Directoire et les « années folles » .

Concernant le Directoire, c'est-à-dire fin 1790 début 1800, nous avons rien moins que les témoignage des frères Goncourt :

" La femme d'alors va de mari en mari, poursuivant son bonheur, dénouant, renouant sa ceinture. Elle circule comme une marchandise gracieuse. Elle est épouse, le temps que cela ne l'ennuie pas ?

Le mari court des bras de l'une aux bras de l'autre, demandant une concubine à l'épouse et le rassasiement de ses appétits à des noces multipliées. On divorce pour rien ;... on se marie pour divorcer, on se démarie pour se remarier, sans que l'homme ait la jalousie du passé, sans que la femme en ait la pudeur, et il semble que les mariages de ce temps aient pris modèle sur les haras où l'on procède par essais. »




Concernant les "années folles », voici un article paru dans " Le Figaro Madame" du 16 11 2007: "les années 1919-1929 ont été le théâtre d'une première "libération" des femmes. Libération des mœurs, mais aussi libération de la mode quand Paul Poiret s'est inspiré de celle du Directoire . Victor Marguerite pour être de son époque, publie "La garçonne" qui narre l'histoire d'une femme découvrant l'homosexualité ! . Les femmes osent se maquiller, même en public, ce qui était considéré comme vulgaire auparavant."



Alors qu'il est convenu que la femme est plus "fine mouche" que l'homme, et bien malgré cela, elle s'est fait et se fait "rouler dans la farine" comme jamais on aurait pu l'imaginer.

Et c'est là qu'il faut admettre le pouvoir extraordinaire du "malin": en effet, elles désignent "libération", ce qui est en fait une soumission à la fois au système marchand avec la tyrannie des modes, et à la lubricité du tout-venant masculin en étant réduite à l'état de stimulatrices sexuelles par l'exposition d'une intimité dont elles devraient n'accorder l'exclusivité qu'à l'homme aimé.

On entend des femmes rétorquer en toute bonne foi, que c'est aux hommes de faire l'effort de maitriser leurs instincts.

Or, et tout comme le gabarit masculin est différent, il en est de même pour la sensibilité à la vue d'une nudité car généralement, celle-ci excite les messieurs et indiffère les dames.

Avec le recul, force est d'admettre que cette "libération" dans l'habillement a ouvert la voie à ce qu'elles désignent comme le droit à disposer de leur corps avec "L'IVG" . Or, dans les faits car c'est biologiquement prouvée, ce n'est pas de leur corps dont elles disposent, mais de la « liberté » du tuer un être humain innocent et sans défense.

Conclusion: tentons de convaincre la femme qu'assumer la richesse de l'unicité de sa propre personnalité est plus valorisant (et moins couteux!), qu'endosser docilement l'uniforme du panurgisme, communément désigné "suivre la mode", ou pire: "vivre avec (ou être de) son temps" !



Déclarations de Pie XII du 22 mai 1941, celle de Saint Jean-Paul II du 9 juillet 1997
et le témoignage de Sœur Jacinthe à l'issue d'une des apparitions de Notre Dame à Fatima en 1917

Textes issus d'un feuillet à disposition des fidèles dans l'église de la Fraternité Saint Vincent Ferrier de Chéméré le Roi.






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